Vestiges romains № 040

… à côté des mosaïques romaines trouvées sur l’Esplanade en 1926 (mosaïque au lion), 1950 (mosaïque dite à la tête de méduse) et 1980 (mosaïque de l’apsis), d’autres vestiges romains furent découverts en 1820 (monnaies, Herrenberg), en 1847 (urnes, Herrenberg et médaillon de Caracalla, op der Tonn), en 1848 (colonne romaine, rue du Pont), en 1857 (rue du Curé), en 1917 (urnes, foyer, rue des Remparts), lors des travaux de reconstruction après la deuxième guerre mondiale (rue du Marché, rue de Brabant, Grand-Rue), en 1960 (Vieille Église) et finalement lors des campagnes de fouilles menées par le MNHA en 1992 (Dechensgaart), en 2008 (rue Alexis HECK) et en 2010-2011 (rue Saint Antoine). (bp, cbw, 2010-03-07)

 

 

Carte postale montrant la mosaïque au lion partiellement déterrée en 1926. [Photographie: NN; éditeur: NELS; collection: bp (Fundus Marcel WERDEL)]

 

 

Carte postale montrant, à gauche, la mosaïque au lion complètement déterrée et, à droite, un hypocauste in situ en 1926. [Photographie: NN; éditeur: NELS; collection: bp (Fundus Marcel WERDEL)]

 

 

Pièces d’aqueduc romain asssemblées en fontaine sur la rue du Curé en face du Musée d’Histoire[s] Diekirch. De telles pierres oblongues pourvues d’une rigole médiane ont été réemployées ultérieurement comme sarcophages rudimentaires: la dépouille mortelle fut déposée dans la rigole, une pierre brute appliquée à chaque extrémité de la rigole et le tout recouvert d’une dalle monolithique plus ou moins ciselée. Voir à ce sujet l’Album des Fouilles de la crypte de l’Église Saint-Laurent à Diekirch en 1960. [Photographie: bp_2005]

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